Comme annoncé dans ma précédente chronique, j’ai reçu la semaine dernière deux colis qui ont illuminé mon quotidien. Le premier venait des éditions Mijade, le deuxième des éditions Kennes.
Dans ce billet, je vais te présenter deux livres issus d’une même série mais sur deux supports différents !
Le premier est « La vie compliquée de Léa Olivier 15. Montréal », un roman à destination des adolescentes écrit par Catherine Girard-Audet et publié aux éditions Kennes.
Résumé:
Alors que le printemps bat son plein dans la Ville Lumière, Léa se retrouve au cœur d’un pentagone amoureux qui vient compliquer son séjour parisien. La présence de Cruella, alias la mère-cœur-de-pierre de Marion, et les menus douteux constitués d’escargots dégoûtants et d’huîtres gluantes ne lui rendront certainement pas le voyage plus facile, mais les randonnées en scooter et les préparatifs d’un rallye dansant plus-que-prometteur sont un pas dans la bonne direction. Pendant ce temps, Marilou est elle-même aux prises avec sa propre énigme amoureuse qui se complexifiera davantage lorsque Sarah Beaupré viendra ajouter son grain de sel et que sa mère se mettra à agir de façon on ne peut plus étrange. Secouée par l’intensité académique de ses profs, par le retour en force de Maude, par les grands questionnements de Jeanne et par l’arrivée des correspondants français dans la métropole, Léa éprouve un dur retour à la réalité. Tandis qu’elle jongle avec les sentiments contradictoires qui l’habitent, une fête mémorable viendra tout chambouler. Bienvenue à Montréal!
La saga de « Léa Olivier » se présente sous une forme épistolaire moderne (comme nous sommes au 21e siècle, les lettres sont remplacées par des mails ou des textos). Elle a pour personnage principal Léa Olivier, une jeune fille pétillante, attachante et totalement naturelle, qui va déménager de son village natal pour aller s’établir avec ses parents et son frère à Montréal. Elle raconte ses déboires, mais aussi sa vie scolaire et amoureuse. Et on peut dire qu’elle va avoir dans sa nouvelle ville, une vie trépidante avec des nouveaux amis…
De fait, il n’y a pas d’âge pour apprécier la littérature jeunesse ! Malgré que nous sommes au quinzième tome, je reste toujours aussi enthousiaste à chaque nouvelle parution. Léa Olivier fait d’ailleurs partie de ma sélection de 10 livres (à succès) qui réconcilieront vos adolescents avec la lecture.

Il s’agit d’une lecture addictive, que je dévore toujours en un ou deux jours. Heureusement, le rythme de parution est assez soutenu étant donnée que la série a commencé seulement en 2012 !
La majorité des séries s’essoufflent au bout de quelques tomes. Ce n’est pas le cas de celle-ci ! A la dernière page, je me suis dit « zut ! il va falloir attendre pour avoir la suite ». Si le pitch de cette saga vous attire, faites attention de bien commencer par le premier tome.
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Résumé:
Ce premier tome de « La Vie compliquée de Léa Olivier » nous emmène à Montréal, en compagnie de Léa, 14 ans, qui vient tout juste d y emménager avec ses parents. Séparée de sa meilleure amie Marilou et de son amoureux Thomas, elle peine un peu à se faire à son nouvel environnement. Il faut dire qu entre les maladresses de Thomas, pas très doué pour les relations à distance, les filles du lycée qui la prennent de haut et son frère Félix qui joue les beaux gosses, Léa se sent parfois un peu seule. Heureusement, il y a Marilou, à qui elle raconte tout, par mail et par chat. Laquelle la tient au courant de la vie de leur village, des faits et gestes de Thomas et des aléas de sa vie amoureuse…
Egalement publié par les éditions Kennes, que je remercie pour leur généreux envoi, « La vie compliquée de Léa Olivier tome 1 » est une bande dessinée d’après le roman de Catherine Girard-Audet, scénarisée par le Belge Alcante et dessinée par Ludo Borecki.
La série de romans a tellement de succès qu’elle a été adaptée en bande dessinées et qu’elle comporte aussi des hors-séries ! Une dizaine de volumes sont disponibles à ce jour.
Dotée d’une mise en page sympathique et attirante, d’illustrations colorées, la bande dessinée permet de mettre des visages sur les différents personnages. Léa, Marilou, Félix, Alex, etc. ils collent assez fidèlement à l’image que je m’étais faite d’eux ! Un autre plaisir a été de découvrir des planches illustrant la ville de Montréal, dont son gigantesque complexe souterrain.
A l’instar des livres, la bd utilise des expressions du langage parlé propre aux adolescents du Québec. La dernière page comprend un lexique afin de bien comprendre l’ensemble des termes utilisés.
En bref:
Je suis totalement convaincue par cette adaptation ! Vivement de pouvoir lire sa suite…