10 romans (à succès) qui abordent les métiers du livre en arrière-fond

Coucou mes petits lecteurs !

Je vous retrouve aujourd’hui avec un nouvel article dont l’objectif est de vous présenter 10 livres à succès selon une thématique. 

Pour rappel, les autres sujets sont actuellement:

• les romans que je n’ai pas su finir
• les livres qui m’ont choquée
• 10 livres (à succès)… que je n’ai pas su arrêter !
• 10 livres (à succès)… dont je préfère l’adaptation au bouquin !
• 10 livres (à succès)… qui ont fait mon enfance !
• 10 livres (à succès)… qui ont fait mon adolescence !
• 10 livres (à succès)… que je vous recommande de lire durant les fêtes !
• 10 livres (à succès)… qui réconcilieront vos adolescents avec les livres
• 10 livres (à succès)… écrits par des blogueurs/Youtubeurs (partie 1)

 

Aujourd’hui, mon article sera consacré à 10 livres qui abordent les métiers du livre en arrière fond ! 

Un sujet qui je pense devrait plaire à un grand nombre d’entre vous, chers amoureux des livres, surtout au vu de votre engouement et de vos récurrentes questions sur mon métier de bibliothécaire !

Attention : vidéo à ne pas visionner si vous ne désirez pas connaître la réalité de mon métier !

Assez de blablas, je vous propose de suite de découvrir ma petite sélection qui, je l’espère, vous donnera l’envie d’en lire certains…:

« Le mec de la tombe d’à côté » est un roman écrit par Katarina Mazetti. Le pitch est le suivant:

Désirée se rend régulièrement sur la tombe de son mari, qui a eu le mauvais goût de mourir trop jeune. Bibliothécaire et citadine, elle vit dans un appartement tout blanc, très tendance, rempli de livres. Au cimetière, elle croise souvent le mec de la tombe d’à côté, dont l’apparence l’agace autant que le tape-à-l’œil de la stèle qu’il fleurit assidûment. 
Depuis le décès de sa mère, Benny vit seul à la ferme familiale avec ses vingt-quatre vaches laitières. Il s’en sort comme il peut, avec son bon sens paysan et une sacrée dose d’autodérision. Chaque fois qu’il la rencontre, il est exaspéré par sa voisine de cimetière, son bonnet de feutre et son petit carnet de poésie. Un jour pourtant, un sourire éclate simultanément sur leurs lèvres et ils en restent tous deux éblouis…  C’est le début d’une passion dévorante. 

A noter qu’une suite intitulée « Le caveau de famille » existe. Je la trouve cependant un tantinet moins réussie que le premier opus.

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« Des papillons dans le cœur » est un roman, le premier, de Petra Hülsmann publié aux éditions de l’Archipel. Un coup de cœur, un vrai régal ! Dès le début, j’ai été charmée par Lena, l’indescriptible actrice principale de ce roman. Cette jeune femme moderne et toujours spontanée a une vie de rêve. Malheureusement, pile à l’âge de trente ans, elle se retrouve à la rue: son petit ami la laisse tomber à une semaine du mariage et une gaffe à son boulot lui fait prendre la porte. Comment se relever après tout cela? Heureusement, elle peut compter sur l’aide de sa petite bande de proches. Celle-ci se compose de sa meilleure amie en couple avec son grand frère Michel. Ils vivent avec le meilleur ami de ce dernier, Ben. Ce jeune chirurgien adore faire des réflexions à Lena, qu’il connait depuis toujours, l’ennuyer, elle qui est parfois trop « popotte ». J’ai adoré leurs échanges, leurs chamailleries. Au fil des pages, leur relation s’électrise… 

Derrière son ton drôle et la mise en avant des déboires amoureux de Lena, ce livre aborde les thèmes de l’épanouissement et de l’accomplissement personnel. Lena se cherche, aimerait avoir une vie idéale, une belle carrière. Dans l’attente de mieux, elle accepte un job dans une librairie de livres d’occasion sous la coupe de son propriétaire, le ronchon Otto…

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Adepte de Katerine Pancol pour ses trilogies débutant par «Les yeux jaunes des crocodiles», j’ai également adoré son roman «Un homme à distance». Je vous recommande cette lecture dont voici le résumé:

Kay Bartholdi est libraire à Fécamp, Jonathan Shields est un écrivain américain. Pour un guide touristique de la côte normande, il lui commande des livres par correspondance. Elle répond à cet inconnu qui semble partager les mêmes goûts qu’elle. Lettre après lettre, ils se découvrent une même passion pour la littérature. Cette relation épistolaire devient bientôt aussi passionnée que celle de deux amoureux. Ils se découvrent, se jaugent, s’offrent l’un l’autre leurs plus belles lectures : Maupassant, Jean Lorrain, Flaubert, Barbey d’Aurevilly, Roger Martin du Gard, etc… et se disent, à travers leurs auteurs préférés, des choses qu’ils n’auraient pas osé avouer.

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J’ai découvert « Été » d’Edith Wharton alors que j’étais toujours étudiante en bibliothéconomie. Notre professeur de littérature nous avait encouragé à lire ce livre. Je le remercie sincèrement et vous prodigue à mon tour ce conseil.

La jeune Charity, recueillie enfant par un avocat du petit village de North Dormer, en Nouvelle-Angleterre, s’est résignée à une vie étriquée, au pied des montagnes, rythmée par les heures qu’elle passe à dépoussiérer et ordonner la minuscule bibliothèque municipale. Un jour de début d’été, elle voit apparaître dans ce bout du monde un jeune architecte, Lucius Harney, venu dessiner des croquis d’habitats traditionnels de la région. Très vite, elle s’éprend de lui. Admirablement construit, ce court roman des espoirs et des cruautés de l’amour est également une description impitoyable de l’oppression exercée parla « normalité » sociale contre les aspirations de l’individu.
Été, quoique fort chaste, traite avec franchise de la sexualité féminine, vue comme force vitale puissante. Un roman très en avance sur son temps qui, lorsqu’il fut publié en 1917, créa un véritable scandale. On alla jusqu’à le comparer à Madame Bovary, qui était précisément le livre préféré d’Edith Wharton.

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Abonnée à Netflix, je n’ai pu passer à côté de You, adaptation en série télévisée du livre «Parfaite» de Caroline Kepnes. Je n’ai pas encore lu le roman, trouvant la série sympathique mais parfois légèrement ennuyeuse. Le roman présente-t-il les mêmes défauts? Si vous ne connaissez pas encore, voici le pitch:

Je sais tout de toi. Tu es parfaite. Je t’aimerai à la vie, à la mort. Tu es à moi pour toujours. Lorsque Beck pousse la porte de sa librairie, Joe est immédiatement sous le charme. Ravissante, effrontée, sexy, elle est tout simplement tout ce qu’il cherche chez une femme. Et quand Joe aime, il est prêt à tout pour parvenir à ses fins… Quelques semaines plus tard, la vie de Beck n’a plus de secrets pour Joe. Il a trouvé son nom, son adresse, s’est procuré accès à ses emails, il la suit virtuellement sur les réseaux sociaux et physiquement dans les rues de New York. Avec un peu d’organisation, une  » vraie  » rencontre est vite provoquée, et comment résister à un garçon qui devance vos moindres désirs, semble deviner vos pensées les plus intimes ? Et lorsque des personnes de l’entourage de Beck sont victimes d’accidents macabres, c’est tout naturellement dans les bras de Joe que se réfugie la jeune femme. 

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« J’hésite ou je tente ma chance » est un roman de Valéry Hardiquest publié aux éditions Acrodacrolivres.

Résumé: Prenez Mélanie, une bibliothécaire passionnée et idéaliste, ajoutez Franck, un trentenaire maladroit et hors du temps, vous obtiendrez le début d’une aventure aux allures de road-trip rocambolesque, qui va les emmener de Beaune à Paris, en passant par la Normandie, la Lozère et la Provence !  Une comédie tonique et romantique à savourer en toute décontraction !  Plus d’infos dans ma chronique et/ou découvrez également le « crossover » de ce roman: «La vie… ou rien d’autre !» de Marie-Isabelle Tasset

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«La première fois qu’on m’a embrassée, je suis morte» est un roman de Colleen Oakley aux éditions Milady. Une histoire pas encore lue ! J’ai cependant tenu à vous le renseigner car il est disponible parmi les rayonnages de ma bibliothèque.

Fantasque et drôle, Jubilee Jenkins souffre d’un mal extrêmement rare : elle est allergique au contact humain (pour résumer aux gens). Après un épisode qui a failli lui coûter la vie, elle décide de ne plus sortir de chez elle. Mais à la mort de sa mère, Jubilee doit affronter le monde et les gens. Elle trouve refuge à la bibliothèque municipale, où elle décroche un travail, et y rencontre Eric Keegan, un homme divorcé qui vient de s’installer en ville avec son fils adoptif, un petit génie perturbé. Bien qu’il ne comprenne pas pourquoi Jubilee le tient à distance, il est sous le charme… Ces trois-là n’étaient pas destinés à se croiser et pourtant seule leur rencontre va leur permettre de s’ouvrir à la vie et à l’amour, formant ainsi un trio irrésistible.

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«Le nom de la rose» est un chef-d’oeuvre de la littérature. J’ai lu ce livre, roman policier historique, écrit par Umberto Eco lors de mes études. Une lecture marquante sur le thème de la bibliothèque labyrinthique qui m’a fait sortir de ma zone de confort. A savoir qu’il existe également une adaptation par Jean-Jacques Annaud avec Sean Connery dans le rôle de Guillaume.

An de grâce 1327, la chrétienté est en crise. L’ex-inquisiteur Guillaume de Baskerville se rend dans une abbaye bénédictine du Sud de la France pour participer à une rencontre entre franciscains prônant la pauvreté du Christ et partisans d’un pape amateur de richesses. Dès son arrivée, il se voit prié par l’abbé de découvrir au plus vite la raison de la mort violente d’un de ses moines, retrouvé assassiné. L’inquisiteur Bernard Gui, dont la réputation de cruauté n’est plus à faire, est attendu, et l’abbé craint pour l’avenir de son abbaye. Tel un ancêtre de Sherlock Holmes, Baskerville se met à l’ouvrage, assisté du jeune Adso de Melk. D’autres morts vont venir compliquer sa tâche. 

 

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David Foenkinos est un excellent auteur ! Alors, lorsque j’ai lu le résumé de son titre «Le mystère Henri Pick», je me suis précipitée pour le lire. Quelques surprises étaient au rendez-vous…

En Bretagne, un bibliothécaire recueille tous les livres refusés par les éditeurs. Parmi ces manuscrits, une jeune éditrice découvre une pépite écrite par un certain Henri Pick. Elle part à sa recherche et apprend qu’il est mort deux ans auparavant. Mais selon sa veuve, il n’a jamais écrit autre chose que des listes de courses… Aurait-il eu une vie secrète ? Auréolé de ce mystère, le livre de Pick aura des conséquences étonnantes sur le monde littéraire.

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«Jeune libraire dans la lumière», quel joli et doux titre, vous ne trouvez pas? Ce livre est écrit par Frank Andriat, une plume assez connue de mon pays au talent indéniable.

« Elle a lu la quatrième de couverture, a frissonné d’étonnement. Ce récit ressemblait à s’y méprendre à un épisode de son existence. Elle a déposé l’ouvrage sur le comptoir et est allée ouvrir la porte de la librairie. À neuf heures, les clients sont encore rares et, dans la lumière du matin qui glissait sur la vitre, elle a commencé à lire ce texte inattendu. » 

Les événements de notre vie, même les plus obscurs, sont posés dans la main des anges. Quand les hasards se rencontrent, c’est la lumière qui les rassemble. Une jolie libraire retrouve un fait marquant de son passé dans un livre qui la conduit à tisser des liens et à s’interroger sur son présent. Ce roman délicat, qui rend hommage aux libraires et qui chante l’univers des livres, est une ode à la lumière, à la tendresse et à l’amour.

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Et bien entendu, le livre à lire durant sa jeunesse:

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Que pensez-vous de ma sélection?

 Pensez-vous que ces livres pourraient vous plaire? Lesquels?

Quelle est votre propre liste ?

Quels thèmes aimeriez-vous que j’aborde dans mes prochains billets? 

 

Rendez-vous la semaine prochaine pour un prochain billet « 10 livres que… »